Dès que l’on foule le sol de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny, un service spécial est reversé à tous les visiteurs qui arrivent à Abidjan pour la cérémonie du tirage au sort. Un couloir leur est spécialement réservé dans le hall de l’aéroport, pour leur faciliter le contrôle de visa. A l’extérieur de l’aéroport, on est accueilli par les groupes de danses folkloriques, qui souhaitent à tous « Akwaba », bienvenue en langue locale.
La Confédération africaine de football (CAF) a aménagé un grand hall qui permet aux journalistes venus couvrir l’évènement de travailler sereinement grâce à une bonne connexion wifi. Le Comité local d’organisation a mis à la disposition des personnes conviées à la cérémonie de tirage au sort des minibus qui font la navette entre l’aéroport et l’hôtel Onomo, où la CAF a installé son quartier général.
Dans cet hôtel, les journalistes accrédités et personnes invités passent à tour de rôle pour remplir les formalités (prises de vue) enfin d’obtenir leurs badges d’accréditations. Comme c’est souvent le cas dans ces institutions internationales, on tombe sur un Camerounais, Faustin Akafac. En bon pédagogue, il explique à tous ceux qui n’ont pu être accrédités, que la CAF ne peut satisfaire toutes les demandes :
Nous avons reçu trop de demandes. Nous avons les quotas par pays et nous essayons de les respecter.
A tous ceux qui ne sont pas encore inscrits dans le média chanel de la CAF, l’espace dédié aux journalistes sur le site Cafonline.com, il leur demande de se s’y faire en fournissant toutes les informations nécessaires :
C’est l’étape préalable obligatoire pour tous les journalistes qui souhaitent couvrir les compétitions et événement de la CAF ,
explique-t-il, très posément.