Selon Euronews, Zerfe Wondemagegn a reconnu avoir enfreint les règles antidopage après que des échantillons qu’elle a donnés ont révélé des traces de testostérone et d’une autre substance, l’EPO, qui peut aider le sang des athlètes à transporter plus d’oxygène.
Une coureuse éthiopienne qui a atteint la finale des 3 000 mètres steeple aux Jeux olympiques de Tokyo et a raté de peu le podium des championnats du monde l’année dernière, a été suspendue pour cinq ans après avoir été testé positif à deux substances interdites.
Zerfe Wondemagegn a reconnu avoir enfreint les règles antidopage après que des échantillons qu’elle a donnés ont révélé des traces de testostérone et d’une autre substance, l’EPO, qui peut aider le sang des athlètes à transporter plus d’oxygène, a déclaré l’unité d’intégrité de l’athlétisme dans un jugement publié lundi.
Ce lundi 22 avril également, l’AIU a annoncé une interdiction de trois ans à l’encontre de la coureuse kényane Celestine Chepchirchir, qui a été testée positive à la testostérone.