L’International Testing Agency (ITA) indique que près de 90% des participants aux JO de Paris (26 juillet-11 août) ont été contrôlés depuis le début de l’année dans le cadre du programme antidopage préolympique. Cette proportion atteint les 100% dans les sports jugés les plus à risque, comme l’haltérophilie qui représente le quart des cas positifs dans l’histoire des JO, le triathlon et la nage en eau libre, 99% en gymnastique et 89% en athlétisme.
Dans ces disciplines, 75% des qualifiés aux Jeux ont même été testés « au moins trois fois », relève la jeune organisation, chargée depuis six ans du programme antidopage des JO, et désormais de celui de la plupart des fédérations internationales. Avec ces chiffres, l’on pourrait éviter les désagréments des JO-2020 de Tokyo où 23 athlètes de la natation chinoise avaient été testés positifs.